La culture du feedback au travail

Il prône une culture de feedback informelle et continue, dans laquelle les collaborateurs et les managers s'entraident en fournissant un feedback automatique. De cette façon, nous pouvons apprendre les uns des autres chaque jour et continuer à grandir.

Il parle de ces clichés :

• Le feedback est-il vraiment nécessaire ?
• Et si vous n'osiez tout simplement pas donner votre avis ?
• Que se passe-t-il si, au contraire, il y a trop de feedback ?

Évaluation et feedback, sont les deux faces d'une même médaille selon Thierry. L'évaluation est plus formelle, on pense davantage à la gestion de la performance. L’image globale de la culture du feedback accorde davantage d’attention à la partie informelle, tout n’est pas nécessairement sur papier et chacun peut s’exprimer librement sans craindre que l’épée de Damoclès ne pèse sur sa tête. Lors de l’évaluation, il y a souvent de l’anxiété ou du stress. Cela peut se passer bien ou mal. Vous pouvez gagner ou perdre quelque chose. Nous voulons nous débarrasser de ce sentiment grâce à une culture de feedback ouverte. Son conseil est de commencer par cela, surtout en tant que manager. Et vous pouvez le faire en demandant vous-même du feedback. Il le voit de cette façon : vous ne pouvez pas contrôler le fait de recevoir ou non du feedback, vous le recevez ou pas . Donner du feedback vous pouvez le contrôler , mais il n’est pas toujours facile de savoir comment l’autre personne va le gérer. C'est pourquoi il est préférable de le demander vous-même. De cette manière, vos collaborateurs se sentent également à l’aise pour vous faire part de leurs commentaires. Ils voient comment il est mis en œuvre dans le fonctionnement quotidien et se familiarisent . Souvent, la conséquence logique est qu’ils demandent du feedback. C'est du donnant-donnant.

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